Outre ceux des pilotes, la F1 voit de nombreux transferts se produire chaque année entre les équipes. Ingénieurs, personnel des médias ou d’autres domaines : beaucoup de personnes changent d’équipe entre les saisons ou pendant celles-ci.
Lewis Hamilton a comparé cela à ce qui se fait en NFL. Celui qui est co-propriétaire des Denver Broncos grâce au consortium Ariel Investments explique que l’on voit souvent des mouvements similaires entre les équipes en football américain.
"Dans mon équipe, il y a 2000 personnes" a déclaré Hamilton. "Il y a en fait plus de 2000 personnes maintenant pour construire deux voitures. Ils changent tous de poste, c’est un peu comme dans la NFL par exemple."
"J’ai assisté au match des Denver Broncos à Los Angeles et j’en apprends de plus en plus sur la NFL, sur la façon dont les joueurs sont remplacés si souvent au cours d’une saison. C’est très, très similaire pour nous avec les ingénieurs et les designers."
"Ils ne sont pas échangés en tant que tels, mais ils sont poursuivis par d’autres équipes, vous savez, les autres équipes veulent notre aérodynamicien, ou notre spécialiste des pneus."
"Un honneur" d’investir dans les Broncos
Le septuple champion du monde de F1 révèle que cela a été un vrai plaisir de devenir co-propriétaire de l’équipe, après avoir reçu la proposition de Mellody Hobson, la PDG d’Ariel Investments, qui a racheté la franchise de NFL pour 4,6 milliards de dollars : "Honnêtement, c’est un incroyable honneur et une opportunité incroyable."
"Je me souviens que lorsque j’avais neuf ans, je vivais sur une base aérienne américaine pendant une courte période au Royaume-Uni, et c’est la première fois que j’en ai entendu parler, je jouais au jeu vidéo Madden. J’ai assisté à de nombreux Superbowls. J’ai assisté au premier match qui s’est disputé au Royaume-Uni."
"Mellody Hobson m’a appelé pour me dire qu’elle avait une opportunité incroyable et que j’aimerais en faire partie, et j’ai sauté sur l’occasion. Il y a un réel manque de propriétaires noirs, et je fais constamment pression pour la diversité. Il y a beaucoup de travail à faire et je suis vraiment fier d’en faire partie."