Lewis Hamilton a révélé qu’il avait mis peu de temps pour prendre la décision de quitter Mercedes F1 et de rejoindre Ferrari l’année prochaine.
Le pilote Mercedes a annoncé à son équipe à la fin du mois dernier qu’il les quitterait à la fin de la saison pour rejoindre Ferrari.
Hamilton révèle qu’il a eu peu de temps pour étudier une offre du directeur de l’équipe Ferrari, Frédéric Vasseur, une offre finalement acceptée.
"C’est arrivé très vite. Je connais Fred depuis longtemps et pour moi, j’étais excité de me préparer pour une nouvelle année, je ne savais pas vraiment ce que l’avenir me réserverait, je ne savais pas vraiment combien de temps j’allais courir, mais je savais que je me sentais super motivé et excité de continuer à courir pour Mercedes."
"Et là, l’opportunité s’est présentée et je me suis dit : ’d’accord, je dois réfléchir une seconde’. Je n’ai pas eu beaucoup de temps accordé (par Fred) pour y réfléchir et j’ai dû me fier à mon intuition. Et j’ai décidé de saisir l’opportunité."
"Je n’en ai parlé à personne," révèle-t-il aussi.
"Je ne l’ai pas dit à mes parents jusqu’au jour où cela a été annoncé. Donc personne ne le savait. Je voulais vraiment le faire pour moi, par moi-même. En fin de compte, je devais découvrir ce qui allait être le mieux pour moi."
Hamilton n’a changé d’équipe qu’une seule fois au cours de sa carrière, lorsqu’il a quitté McLaren pour rejoindre Mercedes en 2013. Il a déclaré qu’il soutiendrait toujours ses deux anciennes équipes lorsqu’il rejoindrait Ferrari.
"C’était la décision la plus difficile. Quand j’ai quitté McLaren, c’était une décision très, très difficile aussi parce que c’était comme ma famille. Vous vous sentez vraiment partie intégrante de la famille et, évidemment, Mercedes a joué un rôle si important dans ma vie et nous avons accompli tellement de choses ensemble."
"Le fait est que je serai toujours un fan de Mercedes et que nous vivrons toujours cette incroyable histoire ensemble. Même maintenant, toutes ces années après avoir quitté McLaren, je surveille toujours où ils se trouvent et je les soutiens généralement toujours. Et ce sera toujours le cas pour moi pour Mercedes aussi."