Lewis Hamilton devrait rempiler pour au moins un an chez Mercedes F1, mais la question se posera rapidement de ce qu’il voudra faire après la Formule 1, lui qui a toujours dit qu’il avait de nombreux projets, notamment dans la mode et la musique.
Interrogé par le Corriere della Sera, le Britannique réfute en revanche un engagement en politique. S’il espère faire changer les choses via son influence et sa fondation, il ne veut pas se lancer dans la politique.
"Non, je ne suis pas bon en politique !" a répondu Hamilton. "Je veux juste apporter ma contribution, trouver un moyen de faire passer des message et m’assurer que mon neveu de cinq ans, et ceux de sa génération, ne vivent pas ce que j’ai vécu. Qu’ils puissent trouver un monde plus ouvert."
Hamilton regrette aussi le rôle effectué par les réseaux sociaux, qui canalisent les commentaires sur des sujets en tous genres, parfois sans connaissances desdits sujets. Le septuple champion du monde estime que cela est un gros problème.
"Beaucoup ne parlent pas parce qu’ils n’en savent pas assez, et je les respecte. Mais je ne vois pas non plus pourquoi ils ne pourraient pas apprendre. Nous vivons dans une époque ou tout le monde commente tout, parfois sans essayer de comprendre."
"Je lisais les réactions sur le conflit israélo-palestinien. La majorité des gens n’ont jamais mis les pieds à ces endroits ni lu quoi que ce soit sur le conflit. Il y a ceux qui disent ’je m’en fous’ et ceux qui sont inquiets."