Lewis Hamilton a expliqué hier à Monza qu’il n’avait pas cherché à influencer Toto Wolff et son équipe quant au choix de son équipier pour 2022.
Fallait-il continuer avec Valtteri Bottas ? Devait-on enfin promouvoir George Russell ? Le Britannique confie que, même s’il a son mot à dire, ce n’est pas son genre d’exercer son droit de veto.
"J’ai été consulté mais pas tant que ça pour être honnête. Toto, Mercedes et moi, nous discutons beaucoup, de tout, et nous travaillons ensemble pour voir quel est le meilleur pour l’avenir de l’équipe."
"Mais, comme je l’ai dit, je n’ai fait que des commentaires positifs sur George ou Valtteri. Donc, au final, c’était la décision de Mercedes."
"Ce n’est pas vraiment mon style d’exercer mon droit de veto," ajoute Hamilton.
"Depuis que j’ai rejoint l’équipe, en 2013, je me souviens avoir dit tout de suite à Ross Brawn (qui dirigeait Mercedes F1 à l’époque) que je voulais un traitement égal des pilotes."
"C’est la position la plus gratifiante à occuper parce que si vous faites le travail et que vous réussissez, alors vous savez que le travail a été fait contre quiconque à son meilleur niveau."
"Gagner alors que les ailes de quelqu’un sont coupées, ce n’est pas quelque chose qui m’intéresse."