Brendon Hartley est maintenant le pilote de réserve pour non pas une mais deux équipes de Formule 1, comme Sergey Sirotkin l’est pour Renault F1 et McLaren.
Remercié par Toro Rosso à la fin de l’année dernière, le Néo-Zélandais a été choisi pour remplacer Fernando Alonso dans le programme Toyota en Endurance.
"Mon avenir avec Toyota est incroyable. C’est arrivé comme ça, sans que je m’y attende," explique-t-il.
Mais jusqu’à ce qu’il doive démarrer avec les Japonais, l’ancien pilote Porsche en Endurance est pilote de simulateur pour Ferrari et présent à tous les Grands Prix.
"Il n’y a pas encore de simulateur qui existe où le pilote n’est pas important. C’est l’apport émotionnel. L’intelligence artificielle ne peut pas vraiment le reproduire. J’ai donc toujours du travail."
Si Sebastian Vettel ou Charles Leclerc ne peuvent pas courir, ce sera Hartley, qui sera mobilisé au volant de la SF90.
A son rôle chez Ferrari, Hartley a été prié d’en ajouter un autre : il s’est récemment rendu à Hinwil pour mouler son baquet. Il devient donc le pilote de réserve de Ferrari et d’Alfa Romeo, qui a des liens très étroits avec la Scuderia.