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Hülkenberg : Barcelone devient une piste ’à haute vitesse’

Le pilote Haas F1 n’y a pas couru depuis 2019

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Nico Hülkenberg est heureux de retrouver le circuit de Barcelone, sur lequel il n’a pas roulé depuis 2019. Le pilote Haas F1 découvrira comme la majeure partie du peloton la nouvelle configuration, sans chicane, qui fait changer le circuit de catégorie selon lui.

"Il a fallu appliquer un entraînement difficile pour le cou, surtout avec le nouveau tracé du circuit, dont les deux derniers virages reprennent l’ancienne configuration" a déclaré Hülkenberg. "Cela signifie que c’est plus rapide."

"C’est moins un circuit à basse vitesse parce que la dernière chicane lente a été supprimée. Je pense que la vitesse moyenne va augmenter de manière significative, passant d’une piste à moyenne vitesse à une piste à haute vitesse, et c’est définitivement plus exigeant."

"Évidemment, Barcelone est un endroit que nous connaissons très bien grâce aux essais hivernaux que nous y avons effectués. J’ai l’impression d’avoir fait un million de tours là-bas. J’ai hâte d’explorer le dernier secteur. Barcelone est une ville cool, où l’on mange très bien, donc je n’ai pas à me plaindre de voyager là-bas."

Le simulateur joue un rôle pour l’aisance

Hülkenberg pense que cela va renouveler l’intérêt des pilotes envers le circuit, et changer un peu leur façon de faire sur ce tracé. La piste était devenue autant un lieu d’essais que de course, et ce nouveau défi est prometteur.

"Je pense que c’est un changement assez agréable car pour beaucoup de pilotes qui sont là depuis de nombreuses années, il y avait une lassitude, parce que vous avez des essais de pré-saison là-bas et d’autres essais pendant l’année. Donc maintenant je suis un peu plus excité d’aller là-bas sans essais. Je n’y ai pas couru depuis 2019."

Le simulateur est un outil important en Formule 1, et l’Allemand l’utilise cette année pour découvrir de nouveaux circuits. Cela lui permet d’avoir une très bonne base de connaissance sur les tracés qu’il ne connait pas.

"Beaucoup d’équipes et de pilotes le font maintenant et nous utilisons le simulateur pour maximiser le processus de préparation avant le week-end, en roulant et en essayant plusieurs options de réglages différents pour arriver sur la piste avec la meilleure configuration de départ possible."

"Je pense que cela a bien fonctionné jusqu’à présent cette année. C’est un outil pour développer la voiture, mais aussi pour comprendre la direction que nous voulons prendre en matière de réglages et, pour moi personnellement, pour apprendre certains des nouveaux circuits comme Miami ou Imola, qui n’a pas eu lieu."

"Mais il est bon pour un pilote d’apprendre de nouveaux circuits dans le simulateur et de ne pas partir de zéro. Nous essayons de faire une demi-journée de course pendant laquelle nous faisons 40 à 50 tours, ce qui nous permet d’avoir une connaissance de la piste de 50 à 60 %."

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