En attendant de savoir ce que fera officiellement Nico Hülkenberg cette année, le pilote allemand est revenu sur l’année 2020, où le pilote de F1 a pu participer à trois Grands Prix finalement.
Rappelé par son ancienne équipe Force India / Racing Point, il a eu à pallier à deux reprises à l’absence de Sergio Perez, touché par le Covid-19 et une fois à celle de Lance Stroll, malade (avant qu’un Covid ne soit confirmé dans la foulée).
Même si Hülkenberg continuait à s’entraîner pour garder la forme, il n’avait plus un rythme de pilote de F1 en termes de nombres de séances. Et lorsqu’il a dû reprendre le volant, directement sur l’exigeant circuit de Silverstone, il l’admet à GQ Magazine "ce fut clairement un grand choc pour tout mon organisme."
"J’ai certes eu un peu de temps pour rouler avant les qualifications et la course, cela m’a bien entendu aidé pour reprendre mes marques, mais les premiers tours ont été assez difficiles. Puis j’ai pris au fur et à mesure un bon feeling avec la voiture. Vous savez, il ne faut pas trop réfléchir ou avoir de doutes dans ce genre de situation."
"J’aime ce genre de défis peu communs, rendre l’impossible possible !"
Hülkenberg reconnait n’avoir pas hésité pour dire "oui" à Racing Point lorsque l’opportunité est arrivée.
"Sans risques, sans oser, vous n’avez rien. Il n’y avait pas beaucoup de temps pour y penser de toute façon. Alors je me suis dit ’fais-le, tu as confiance en toi et en ton talent.’ Et la Racing Point était plutôt une bonne voiture donc cela facilitait aussi la décision."
"Je suis un compétiteur, piloter c’est ma passion, mon métier. Avoir confiance en mes propres capacités, ça a été le facteur décisif dans ma décision."