Nico Hülkenberg se rend au Mexique après avoir marqué des points lors d’un Grand Prix "savoureux" au Japon. Il veut désormais augmenter son compteur sur le circuit des frères Rodriguez.
Qu’appréciez-vous au Grand Prix du Mexique ?
Le Mexique possède une atmosphère vraiment cool. La piste est à l’ancienne, chargée d’histoire et l’on est porté par l’ambiance une fois sur place. J’aime les endroits où l’on ressent une connexion avec la course, comme à Interlagos et Silverstone. Le Mexique est pareil. Concernant Mexico, c’est une ville folle et immense. J’espère que la météo sera plus clémente qu’au Japon comme il y fait généralement assez chaud.
Quels sont les principaux défis sur un tour ?
C’est un petit circuit piégeux. C’est en altitude et cela change un peu la dynamique puisque la voiture a moins d’appuis et beaucoup moins de traînée. Nous sommes donc rapides dans les lignes droites, puis la monoplace semble avoir beaucoup moins d’adhérence au freinage. Ce sont des sensations uniques auxquelles il faut s’habituer. C’est un tracé technique et loin d’être simple. Le stade procure une belle expérience, peu de circuits ont quelque chose de ce genre. On peut entendre et ressentir le bruit. Les fans soutiennent tout le monde là-bas et c’est vraiment génial à voir.
Dans quel état d’esprit abordez-vous ce rendez-vous ?
Nous avons quitté le Japon avec un sentiment de satisfaction. Il y a eu des hauts et des bas dimanche avec des qualifications frustrantes suivies d’une course plutôt plaisante où nous avons progressé pour prendre des points. Il sera important d’en marquer de nouveau au Mexique. Nous nous approchons de la fin de saison et tout doit compter.