Nico Hülkenberg se rend au Brésil après avoir marqué des points au Mexique et aux États-Unis. La prochaine étape l’emmène à Interlagos, un tracé qui lui a tant offert dans le passé et où l’Allemand visera un nouveau bon résultat.
Pourquoi appréciez-vous le Grand Prix du Brésil ?
Je dirais que le Brésil est l’une de mes courses préférées du calendrier. J’aime l’ambiance forte en couleurs de São Paulo. Les fans adorent le sport automobile, et notamment la Formule 1, le circuit est légendaire et tout cela s’additionne pour former un week-end à part. Interlagos est tellement chargé d’histoire que l’on y ressent toutes les émotions sur un tour.
Interlagos est-il piégeux ?
Le tour est court, mais vraiment délicat avec ses nombreux défis. Le circuit tourne dans le sens contraire des aiguilles d’une montre, mais il est aussi assez intense et plutôt physique. C’est bosselé à certains endroits, mais tout n’est qu’une question de confiance. Le secteur intermédiaire est sinueux, mais on peut y gagner beaucoup de temps.
Que retenez-vous de vos expériences passées sur cette course ?
J’ai de bons souvenirs du Brésil. La pole position en 2010 était assez particulière. C’était une séance plaisante, où tout a fonctionné et nous avons réussi un tour parfait dans des conditions difficiles. C’est quelque chose dont je me souviendrai toujours. J’ai mené la course en 2012, mais j’ai joué de malchance en manquant un excellent résultat.
Quel est votre état d’esprit avant ce rendez-vous ?
C’était bien de retrouver les points sur les deux courses précédentes, mais nous en voulons toujours plus. Nous sommes bien revenus à Austin et la seconde moitié de course, en particulier les dix derniers tours, était amusante et nous avons mérité nos points. Nous devons viser plus au Brésil et nous rapprocher de la sixième et de la septième position pour en marquer davantage encore.