La saison de Formule 1 aura-t-elle bien lieu en totalité ? Ou sera-t-elle amputée en grande parte ?
En bourse, les investisseurs et actionnaires ne se posent pas de question : ils voient mal comment l’un des sports les plus mondialisés de la planète pourrait sortir indemne de la crise du coronavirus.
Depuis le mois de février, l’action en bourse de la F1 a perdu beaucoup de sa valeur, le global totalisant 2 milliards de dollars de perte, ce qui fait revenir l’action au cours de son rachat par Liberty Media, en 2017.
La descente s’est accélérée en ce début de semaine au Nasdaq suite à l’annonce de l’annulation des premières courses de la saison de MotoGP, au Qatar et en Thaïlande.
La Formule 1 doit se rendre en Australie, au Bahreïn et au Vietnam avant de revenir en Europe, le Grand Prix de Chine ayant été reporté (dans le meilleur des cas, l’annulation étant plus que probable).