La Formule 1 doit réussir à prendre en compte les enjeux environnementaux de la décennie à venir, et un plan de 10 ans va être déployé par la FOM, la FIA et les équipes pour réduire l’empreinte carbone du sport.
Pour Mercedes, un constructeur qui souhaite rester impliqué en Formule 1 comme l’a récemment affirmé Toto Wolff, c’est un défi qui est aussi excitant à relever que celui de remporter des courses et des titres.
"La durabilité est une partie très importante de notre vie quotidienne. Le changement climatique est en train de se produire et nous devons à nos enfants de s’attaquer à ce problème. Et je crois que la Formule 1 peut développer une technologie qui contribuera à rendre les voitures de route, les batteries et les moteurs à combustion plus efficaces pour diverses applications, dans le secteur de l’automobile comme de l’industrielle," explique le directeur de Mercedes F1.
Et l’Autrichien rappelle que la F1 est déjà bien en avance sur ce qui est actuellement appliqué dans le secteur.
"Nous avons développé des unités de puissance qui atteignent aujourd’hui un niveau record de plus de 50% d’efficacité thermique par rapport aux 29% des moteurs V8 il y a seulement 7 ans."
"Ceci est réel et cela commence à trouver sa place dans les moteurs des voitures de route Mercedes. La Formule 1 est une catégorie de puissance, mais en même temps, c’est une catégorie où l’efficacité est devenue primordiale."