La Formule 1 veut absolument se rendre à Miami, où elle voit un potentiel commercial presque sans limites. Mais la ville de Floride est bien décidée à ne pas accepter la venue de la discipline dans ses rues. Après un premier projet avorté sur le front de mer, le second vers le Hard Rock Stadium se heurte aux mêmes protestations.
"Miami, nous sommes encore engagés" assure Chase Carey, le patron de la F1.
"Il y a clairement des difficultés à surmonter, il faut régler les problèmes, nous avions un vote qui a créé des problèmes pour nous, qu’il faudra régler. Je n’étais pas à Miami donc je n’ai pas les détails, mais il faut dépasser certains problèmes pour réussir à faire cette course."
"Ce qui nous a particulièrement enthousiasmé, c’est l’intérêt d’un grand nombre d’endroits pour l’organisation de courses, ce qui a augmenté durant l’année précédente. Et nous avons des discussions sur littéralement tous les continents, hormis l’Antarctique. Des pays dans lesquels nous courons, d’autres dans lesquels nous ne sommes pas, à des degrés différents."
Comme nous vous le rapportions, Carey admet que le calendrier ne pourra pas s’étendre à l’infini, et cela permet à la F1 d’avoir des candidats en nombre : "Notre capacité à ajouter des courses est limitée, donc la demande excède l’offre."
"La vaste majorité de nos courses sont des accords à long terme et nous voulons qu’ils soient à long terme. Nous sommes conscients de la valeur de ces partenariats. Mais il y aura du turnover."