Mercedes a donc démenti hier les informations selon lesquelles sa toute nouvelle W13, sa F1 de 2022, aurait récemment échoué à un crash test obligatoire de la FIA.
L’équipe allemande a même homologué sa voiture il y a plus de deux semaines, alors que des doutes subsistent du côté de Red Bull Racing pour la RB18.
Nikolas Tombazis, directeur technique de la FIA et responsable de la division monoplaces, admet que les équipes ont rencontré des problèmes cet hiver avec les nouveaux tests d’absorption d’impacts.
Sans nommer les retardataires, il reconnait que "les équipes ont dû faire de gros changements en termes de conception" pour pouvoir passer ces tests.
"Pour vous donner un ordre d’idée de ce que nous avons exigé, les nouveaux châssis seront environ deux fois plus solide sur le côté qu’auparavant."
"L’énergie qui doit être absorbée a augmenté d’environ 80%."
Et cela ne va pas s’arrêter là pour cette nouvelle ère de la F1.
"Nous étudions comment cette valeur peut être augmentée à l’avenir," conclut Tombazis.