Le Grand Prix de Russie est initialement prévu fin septembre, et son organisateur affiche toute sa confiance quant à la tenue de l’événement à la date prévue. Dans un élan d’optimisme, il assure même que la course pourrait se tenir avec un public, malgré la pandémie de Covid-19.
"Je pense que notre course à toutes les chances d’être la première avec un public" avoue Alexey Titov, directeur de la société Rosgonki, qui est le promoteur du Grand Prix de Russie. "Mais nous devons aussi comprendre que la situation avec l’épidémie est assez difficile, et il est prématuré actuellement de dire comment seront les choses fin septembre."
"Notre date est inchangée. Toutes les versions du calendrier qui circulent sur internet ne sont que des tentatives, car la Formule 1 n’a qu’une seule chose de certaine : les courses en Autriche seront les 5 et 12 juillet. Il n’y a rien de concret au-delà de ces deux courses."
L’Autriche, l’Angleterre, l’Allemagne, l’Espagne, la Hongrie, la Belgique, l’Italie et l’Azerbaïdjan ont notamment validé la possibilité d’un huis clos, une hypothèse exclue par le GP de Singapour, disputé en ville. Quoi qu’en dise le promoteur du GP de Russie, c’est bien ce critère là qui pourrait décider de la tenue des courses cette saison.