Le nouveau contrat pour un Grand Prix de Formule 1 "permanent" à Imola jusqu’en 2025 attend toujours d’être signé.
Les responsables de la course italiens ont obtenu le soutien des autorités régionales mais un accord avec Liberty Media n’a pas encore été conclu – peut-être en raison des conditions locales liées au Covid-19.
En effet, Imola ne souhaite pas être en déficit et c’est peut-être un mécanisme de ristourne sur le prix du plateau qui est négocié en cas de jauge trop faible.
"Nous espérons que la situation s’améliorera, sinon nous devrons nous contenter de 75% de la capacité du circuit," explique Giancarlo Minardi, l’ancien patron d’équipe en F1 qui est désormais président du conseil d’administration du circuit d’Imola.
"Pour le moment, l’ACI (Automobile Club d’Italie) et l’équipe qui a pu mettre en place ce deuxième Grand Prix en Italie travaillent dur pour valider les contrats nécessaires."
"J’espère que les gens pourront sortir de cette impasse qu’est le Covid et le pass sanitaire et que la situation s’améliorera en janvier."
"Dans ce cas, il sera possible d’utiliser les pelouses du circuit, ce qui fait la différence pour remplir un circuit de fans et viser un record de fréquentation."
Lorsque la FIA a dévoilé le calendrier pour 2022 le mois dernier, Imola a bien été marqué comme "provisoire" avec un contrat restant à signer.