Charles Leclerc a déjà disputé trois saisons en Formule 1, et il est désormais le leader "narturel" de la Scuderia Ferrari. Sujet aux critiques depuis qu’il est sous le feu des projecteurs chez Ferrari, il admet toutefois qu’une critique spécifique lui déplaît.
"La seule critique qui me touche, c’est qu’on me dise que je suis arrogant" se plaint-il, expliquant que les deux personnes qui lui ont servi de mentors avant d’arriver en F1 ne lui ont pas inculqué de telles valeurs.
"Mon père et Jules Bianchi m’ont appris à garder les pieds sur terre, et seulement qu’en tant que pilote, tout le monde veut être votre ami et qu’il faut parfois y mettre un terme. Cela me touche personnellement quand on dit que je suis arrogant."
Leclerc discute aussi de sa rivalité avec Max Verstappen. Les deux pilotes ont croisé le fer en piste à plusieurs reprises en 2019, et il reconnaît que leur relation est bien plus positive qu’elle ne l’était par le passé.
"On ne pouvait pas se supporter avant, mais avec le temps, on a grandi et l’on se parle. Il y a du progrès. Au final, c’est aussi un gars bien, mais quand on met nos casques, il y a la même rivalité qu’avant en karting."