Charles Leclerc, malgré son jeune âge, a déjà perdu de nombreuses personnes importantes dans sa vie.
Il a également perdu des amis dans le sport automobile, mais il n’a pas jamais eu peur de remonter dans une monoplace.
Au cours des dernières années, Leclerc a subi de nombreux coups durs. Il a tout d’abord perdu son parrain en sport automobile, Jules Bianchi, en 2015.
"Avec Jules, j’ai eu le premier choc, quelque chose de difficile à comprendre et à accepter," reconnait le Monégasque.
En 2017, il a perdu son père, Hervé, décédé des suites d’une longue maladie. Il n’avait que 54 ans.
"La perte de mon père, qui m’avait tant aidé dans ma carrière, a été un autre choc. Mais cela m’a beaucoup fait mûrir car ne pas l’avoir avec lui du jour au lendemain m’a donné beaucoup de responsabilités, me faisant grandir en tant que personne."
En 2019, c’est Anthoine Hubert, l’un des meilleurs amis de Leclerc, qui meurt lors de la course de Formule 2 à Spa-Francorchamps.
"C’était tout aussi choquant avec Anthoine qu’avec Jules... cela m’a rappelé à quel point la course est dangereuse."
Et lorsque Romain Grosjean a eu son grave accident à Bahreïn, Leclerc admet une nouvelle fois avoir été "choqué". Mais il n’avait pas peur de remonter dans la voiture.
"Peur de remonter dans la voiture, non. Je ne l’ai pas été et je ne veux pas l’être. Mais j’ai eu peur pour Romain, oui."