Charles Leclerc est clairement en mesure de se battre pour son premier championnat du monde en F1 cette année.
Le pilote Ferrari sait déjà comment gagner des titres, puisqu’il a fait dans les catégories junior, mais cela change-t-il son approche de quelque manière que ce soit maintenant qu’il s’agit de la catégorie reine ? La question lui a été posée à Miami.
"Ça fait du bien, tout d’abord, surtout après ces dernières années qui ont été très difficiles pour toute l’équipe. Nous avons beaucoup lutté avec nos performances, et se battre pour les sixième, huitième et dixième places, même si vous faites le travail parfait, c’est difficile pour une équipe comme Ferrari et pour moi-même, donc être de retour au sommet ça fait du bien tout d’abord."
"Ensuite, que ce soit différent de ce que j’ai vécu avant d’arriver en Formule 1... hmm, pas vraiment. Bien sûr, vous avez un peu plus de pression et d’attentes, mais cela ne change pas grand-chose pour moi. L’approche est la même que j’avais dans le passé."
Michael Schumacher avait l’habitude de dire qu’il pouvait venir aux États-Unis au plus fort de sa carrière chez Ferrari et passer des vacances reposantes parce que les gens ne le reconnaissaient pas. Est-ce toujours le cas pour lui chez Ferrari ? Qu’a-t-il ressenti à son arrivée à l’aéroport ?
"La Formule 1 devient énorme ces dernières années aux États-Unis, il devient donc de plus en plus difficile de ne pas être reconnu !"
"C’est bon à voir et c’est super que le sport se développe si bien ici. Nous l’avons vu à Austin l’année dernière avec tant de fans et je suis sûr que ce week-end va être énorme, donc j’ai hâte de voir ça."
"Avant la F1, je n’avais jamais eu la chance de venir aux États-Unis. C’est définitivement un endroit dont je suis tombé amoureux depuis et après ma première course, je suis resté à Los Angeles et j’ai tout simplement adoré."
"Ici tout est énorme ! C’est comme l’Europe mais tout ce qui s’y passe est dix ou cinquante fois plus grand ! Cela vous fait penser que tout peut arriver, vous pouvez tout faire ici, et oui, j’adore ça."