Après trois victoires en trois courses, Ferrari avait envie de prolonger sa série à Sotchi, surtout avec la pole position de Charles Leclerc, mais Mercedes a fait le doublé.
Le Monégasque, toutefois, s’attend maintenant à voir une Ferrari efficace lors du prochain Grand Prix, au Japon.
"Comme je l’ai dit plus tôt, on était rapides à Singapour, on l’était à Monza, et ces circuits sont des opposés complet, donc je pense que cela montre que nous faisons des progrès et qu’il n’y a aucune raison pour que nous soyons très lents au Japon, ce qui ne signifie pas que ce sera facile," admet Leclerc.
"Je suis plutôt sûr que Mercedes et Red Bull étaient solides là-bas. Je ne suis allé qu’une fois à Suzuka mais j’ai adoré cette piste l’an dernier, j’avais pris beaucoup de plaisir à piloter, et notamment dans le premier secteur. C’était une expérience géniale et j’ai hâte d’y retourner."
Il ne veut pas s’inquiéter pour la fiabilité de la Ferrari, malgré une panne inattendue pour Sebastian Vettel : "Comme je l’ai dit, je ne sais pas encore quel est le fond de son problème de MGU-K, j’en parlerai aux ingénieurs."
"Je ne pense pas que la fiabilité ait été un problème ou une inquiétude depuis le début de saison de notre côté, donc je ne m’attends pas à ce que ça le devienne, mais nous verrons. Je n’ai aucune idée du problème donc je dois d’abord parler à l’équipe pour comprendre ce qui s’est mal passé."