Jacques Villeneuve trouve que la situation est injuste quant au traitement médiatique et populaire des pilotes Ferrari. Selon lui, beaucoup de choses sont pardonnées à Charles Leclerc et ne le seraient pas à Sebastian Vettel.
Il pense notamment au crash du Monégasque en Q2 à Bakou : "Imaginez si Vettel avait fait ça."
De son côté, Leclerc minimise une éventuelle montée en puissance au sein de la Scuderia et assure que rien ne change avec l’équipe : "Si j’ai noté des changements, c’est juste parce que je connais mieux les gens."
"Je ne fais rien différemment d’avant. En ce qui concerne ma réputation auprès du public, je suis davantage dans la lumière en tant que pilote Ferrari, mais c’est peut-être aussi car je suis très présent sur les réseaux sociaux."
Néanmoins, il ne cache pas un certain plaisir à l’idée de lire le soutien qu’il reçoit sur les plateformes sociales : "Oui, je lis beaucoup de commentaires d’encouragements."