Charles Leclerc a roulé trois heures ce matin et 30 minutes cet après-midi, après que la séance matinale a été interrompue lorsque le pilote Ferrari a roulé sur une bouche d’évacuation. Le Monégasque est heureux de constater que la SF-24 n’offre pas de déception.
"Pour l’instant, tout se passe comme prévu, on n’a pas de mauvaise surprise et la voiture se comporte comme dans le simulateur, donc c’est un bon signe. En termes de compétitivité, c’est trop tôt pour en parler" reconnait Leclerc, qui n’a vu aucune surprise, au micro de Canal+.
"Pas de bonne, pas de mauvaise. Mais ça, on s’y attendait, à ce qu’elle se comporte comme dans le simulateur, ça nous permet ensuite de pouvoir développer la voiture dans le monde virtuel à Maranello, et c’est bien."
Leclerc ne sait pas dire quelle sera la hiérarchie, mais il s’attend à voir Red Bull en tête, même s’il se sent plus positif que début 2023 : "Je pense que c’est très difficile, Red Bull reste la référence et ils ont une très bonne voiture cette année aussi, mais savoir où nous sommes, c’est difficile à dire."
"On a bien progressé, la voiture fait ce qu’elle doit faire, ce qui n’était pas le cas en début d’année dernière. Je vous rappelle que j’étais bien plus inquiet après les premiers jours car la voiture était très difficile à conduire. Ca part d’une meilleure base mais il reste du travail."
Le Monégasque commente l’arrivée de Lewis Hamilton chez Ferrari en 2025, qu’il voit comme très positive : "Je n’ai pas voulu faire beaucoup de commentaires par respect pour Carlos, on a encore une saison à faire ensemble et on a passé de nombreux moments à essayer de ramener l’équipe au sommet, et j’espère qu’on s’en rapprochera en 2024."
"Pour Lewis, j’étais au courant depuis un moment de son arrivée. C’est une très bonne opportunité pour l’équipe et pour moi. Ca va être super pour lui, ça va être super pour moi, et ça va être super pour l’équipe."