La FIA a révélé que l’utilisation de la voiture de sécurité en Formule 1 allait être débattue par divers organes liés à la fédération. L’objectif est de trouver des solutions pour ne plus vivre les problèmes rencontrés à Abu Dhabi en décembre.
Une fois toutes les analyses effectuées, la FIA prévoit de rendre ses décisions le 18 mars, dans le week-end du Grand Prix inaugural de la saison, qui se déroulera lui aussi à Sakhir.
"Après les décisions du Conseil Mondial à Paris le 15 décembre, l’administration de la FIA, sous la direction de Mohammed Ben Sulayem, a débuté l’analyse des événements du dernier Grand Prix d’Abu Dhabi de Formule 1" peut-on lire.
"Le président de la FIA a lancé une consultation avec toutes les équipes de F1 sur divers problèmes, dont celui-ci. Le 19 janvier, une partie de la réunion du Comité consultatif du sport sera dédié à l’utilisation de la Safety Car."
Après cela, la FIA discutera avec la F1 et surtout les pilotes, avant de valider l’ensemble des décisions, que le grand public connaîtra peu avant la saison 2022. Le résultat de l’enquête sur le Grand Prix d’Abu Dhabi, qui sera connu le 3 février, pèsera évidemment dans la balance.
"L’étape suivante sera une discussion partagée avec tous les pilotes de F1. L’issue de l’analyse détaillée sera présentée à la Commission F1 en février, et les décisions finales seront annoncées au Conseil Mondial à Bahreïn le 18 mars."
"Le président Mohammed Ben Sulayem a demandé au secrétaire général du sport, promu récemment directeur de la division monoplace, Peter Bayer, des propositions pour revoir et optimiser l’organisation de la structure de la F1 en vue de la saison 2022."