Alex Albon a révélé qu’il a ressenti plus de tension lorsqu’il a couru les Grands Prix virtuels de la F1 que lorsqu’il est au volant d’une monoplace. Il ne considère pas cela étonnant et pense que l’impression de bien moins contrôler les choses est responsable de ce sentiment.
"Oui c’est vrai, et je pense que les autres pilotes sont d’accord avec moi" juge Albon. "J’ai senti davantage d’adrénaline en ligne car durant les vrais week-ends de course, nous sommes très confiants et sûrs de notre travail, il n’y a pas de surprises."
"Avec le simulateur, vous n’êtes pas toujours complètement à l’aise car vous n’y êtes simplement pas habitué. La difficulté réside précisément dans les détails. Piloter à la limite et faire des virages serrés est bien plus difficile en simulation."
Les compétitions virtuelles incluant des stars de sport automobile vont désormais nettement diminuer, puisque la majorité des grands championnats vont reprendre, mais Albon est satisfait d’y avoir passé du temps en ce début d’année : "Nous le faisons surtout pour nous amuser. Dans les derniers mois, c’est aussi la seule chose qui nous a permis de rester impliqués dans le sport et la compétition."