Le PDG de la F1, Stefano Domenicali, estime que les menaces qui pèsent sur le sport et varient au fur et à mesure que les décennies s’enchainent, sont des signaux d’alarme nécessaires et aident à garantir que des erreurs ne sont pas commises pendant un mandat.
L’Italien a pris la tête de la F1 en janvier, succédant à Chase Carey alors que le sport se prépare à entrer dans sa nouvelle ère à partir de 2022, avec des changements radicaux mis en œuvre sur les monoplaces.
Alors que cette nouvelle génération de la F1 doit encore arriver, le plafond budgétaire introduit cette saison et le gel du moteur convenu ont été des étapes positives pour la F1, qui a su répondre à une circonstance très menaçante pour son business : la pandémie de Covid-19.
"Les menaces sont un bon signal pour vous garder en vie, pour vous garder éveillé," répond Domenicali.
"Il y a des menaces en termes de plate-forme, le fait que les jeunes générations pourraient être attirées par d’autres choses, il pourrait y avoir des menaces que le marché évolue potentiellement très loin de la manière traditionnelle de vendre une automobile."
"Technologiquement, il y a une menace si nous choisissons des technologies qui ne sont pas les bonnes pour l’avenir."
"Les menaces existent, mais je les considère comme un signal d’alarme pour nous assurer que nous ne commettons pas d’erreurs."