Les Ferrari ont semblé plus rapides que lors des courses précédentes, ce vendredi à Bakou, en reléguant Lewis Hamilton à sept dixièmes lors de l’unique séance disputée. Si le Britannique confiait qu’il ne voyait pas comment rattraper ce retard, Sebastian Vettel était heureux de pouvoir compter sur une monoplace ayant un meilleur appui.
"Il était temps" se félicitait Vettel après la première journée. De son côté, Charles Leclerc se veut un peu plus méfiant quant à un retour possible de Mercedes lors des qualifications, comme ce fut le cas à Bahreïn, où l’avantage des Ferrari fut quasiment réduit à néant le samedi après-midi.
"Nous sommes rapides, mais en qualifications, les Mercedes seront plus rapides qu’elles ne l’étaient. J’en suis sûr. Ils étaient rapides sur les longs relais, et il n’y a aucune raison pour laquelle ils seraient lents sur un tour rapide. Nous sommes partis pour une lutte serrée" assurait le Monégasque.
Mais Vettel, heureux des progrès de sa monture, reste méfiant et considère toujours Mercedes comme l’équipe à battre : "Je pense que nous avons montré un peu plus de choses qu’ils ne l’ont fait. Mercedes restent ceux qu’il faut battre."