Le directeur commercial de la F1, Sean Bratches, estime que si le Grand Prix des Pays-Bas venait à ne pas avoir lieu à Zandvoort à cause de retard sur les travaux, la F1 ne serait pas perturbé.
"Je ne connais pas les détails exacts des accords légaux" explique Sean Bratches. "Mais je pense que les gens aux Pays-Bas peuvent bien gérer le problème. J’ai confiance en cela."
Il explique en effet que Liberty Media possède un plan B au cas où Zandvoort ne soit pas prêt, pour que le calendrier comporte bien 22 courses : "Bien sûr que l’on a un plan B. Nous avons différentes options pour quand nous en aurons besoin."
"Mais pour le moment, nous avons un accord avec Zandvoort et un chemin tracé. Pour l’instant, je présume que nous serons là-bas en mai et que nous pourrons y disputer une course."
Parmi les plans B, on peut imaginer Assen, autre circuit néerlandais, qui voulait aussi la F1 : "Nous avons toujours une bonne relation avec Assen. C’est un bon circuit avec une bonne réputation. Peut-être que nous irons un jour."