Après Monaco, Bakou : la Formule 1 se rendra pour la deuxième fois consécutive sur un circuit urbain ce weekend en Azerbaïdjan, même si les caractéristiques des deux circuits diffèrent en de nombreux points.
Après avoir abandonné à cause d’un problème moteur en Principauté, Kevin Magnussen espère cette fois profiter d’une épreuve habituellement mouvementée pour décrocher un bon résultat au volant de sa Haas F1.
"Ce sont deux circuits très différents, même s’il y a toujours des similarités entre chaque course. Bakou est un super circuit, il est unique en proposant une longue ligne droite et tous ces virages lents, j’ai hâte d’y être."
"Il y a toujours beaucoup d’action à Bakou, avec des risque d’accidents, de drapeaux jaunes, de voitures de sécurité etc. Et nous y avons aussi vu de nombreux drapeaux rouges. Cette course propose toujours plus d’opportunités que les autres."
"J’espère que nous serons performants. Nous avons un bon moteur Ferrari, je ne m’attends donc pas à ce que la ligne droite nous pose un problème. C’est un tracé qui demande de la puissance."
De retour en F1 cette saison, le Danois admettait souffrir sur le plan physique il y a quelques semaines, notamment au niveau du cou. Mais il est désormais pleinement dans le rythme et profite toujours autant de ce comeback inespéré.
"J’adore ce que je fais, je suis en plein rêve. Je suis habitué à un tel programme, c’est ce que j’ai fait ces huit dernières années. La saison dernière a été l’exception, et j’ai profité pleinement du temps qui était à ma disposition. Mais j’aime être occupé de la sorte, je m’amuse beaucoup."