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Maintenant qu’il est pilote numéro 1, Verstappen est beaucoup plus écouté chez Red Bull

Beaucoup plus que Alexander Albon ou Pierre Gasly

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Qu’il fasse équipe avec Pierre Gasly ou Alexander Albon, Max Verstappen est assurément devenu la référence chez Red Bull, non seulement en raison de ses performances pures, mais aussi grâce à son expérience. C’est la première fois que le jeune Néerlandais – mais qui compte déjà plusieurs saisons au compteur – aborde une saison dans le rôle de numéro 1.

Ce nouveau statut a-t-il eu des conséquences concrètes dans son fonctionnement avec Red Bull ?

« Absolument, l’équipe écoute plus mes retours, mais je pense que c’est normal si je fais équipe avec un rookie. De mon côté du garage, pas grand-chose n’a changé. Je donne toujours mes retours d’expérience pour dire comment je voudrais que la voiture soit. Maintenant, ces retours viennent peut-être plus d’un seul côté du garage, car avant il y avait Daniel à mes côtés. »

Cette situation n’est-elle pas préjudiciable au développement de la monoplace ? Max Verstappen ne voudrait-il pas d’un coéquipier plus expérimenté, l’an prochain, comme Nico Hülkenberg ?

« Je ne m’en soucie pas. J’ai toujours eu une bonne relation avec Pierre. C’est dommage qu’il ait dû repartir chez Toro Rosso. Je m’entends aussi bien avec Alexander Albon. Nous trois, nous nous connaissons depuis le karting, nous courions l’un contre l’autre en 2010. Donc peu importe. »

Il est aussi appréciable d’avoir un coéquipier qui pousse moins Max Verstappen dans ses retranchements que ne le faisait Daniel Ricciardo…

« Si j’ai un coéquipier sur mes talons, c’est mieux pour l’équipe et moi-même. Si quelqu’un me pousse, je serai plus rapide. Mais vous voulez toujours battre votre coéquipier, bien sûr. »

« Les coéquipiers, dans une équipe, reçoivent beaucoup de données et d’infos. Nous comparons nos tours, nous revisionnons nos courses. C’est intéressant d’entendre la radio de l’équipe. Certains pilotes, vous les connaissez mieux que d’autres, vous savez donc comment les ‘briser’. C’est un jeu psychologique, aussi avec votre coéquipier. Mais je me soucie surtout de moi-même. Vous ne pouvez jamais vraiment savoir ce qui arrive dans les autres équipes. »

Dans le paddock, Max Verstappen connaît d’ailleurs particulièrement bien Lando Norris, avec qui il joue souvent, la nuit, à iRacing…

« J’ai fait beaucoup de simulateur récemment. Vous pouvez faire des essais de départs, d’arrêts aux stands, vous entraîner à gérer le trafic. Vous pouvez aussi changer beaucoup de choses dans les réglages. Non, ça ne reflète pas toujours la réalité, mais vous pensez toujours à la course en jouant. J’étais déjà bien chaud en rentrant dans la voiture au début des essais hivernaux, grâce à iRacing ! »

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