En deux semaines, les sports mécaniques ont rappelé le danger qui leur est inhérent, y compris à un niveau comme celui des compétitions FIA, avec l’accident mortel d’Anthoine Hubert à Spa-Francorchamps, qui a blessé aussi Juan Manuel Correa.
Une semaine plus tard, à Monza, Alex Peroni est sorti presque indemne d’une cabriole impressionnante due à un vibreur. Et alors que ce dernier est sorti de l’hôpital pour rentrer en Australie, le directeur de course Michael Masi assure qu’aucune réaction précipitée ne sera prise.
"Tous ces circuits ont été approuvés par la FIA avec une licence de grade 1" rappelle Masi. "Il y a des inspections et toutes les mesures de sécurité sont vérifiées en conformité avec des critères stricts."
Selon lui, les circuits ne sont pas en cause, ce qui ne veut pas dire que des recherches ne seront pas faites pour améliorer la sécurité des pilotes : "Après de tels incidents, il serait naïf de croire qu’il peut y avoir des mesures immédiates qui puissent couvrir tout danger. Tout doit être étudié en détail."