Le directeur de course de la FIA, Michael Masi, n’a pas vraiment apprécié les accusations de Lewis Hamilton à la fin de la course en Russie.
Le Britannique n’a pas hésité à lancer que les commissaires sportifs essayent tout pour l’empêcher d’être titré et ainsi mettre un frein à sa domination en Formule 1.
Des paroles fortes et Masi lui répond tout aussi clairement.
"Bien sûr que non ! De mon point de vue, c’est très simple. La FIA est l’administratrice du sport, donc nous surveillons que les règles soient appliquées. Les commissaires sont indépendants de ceux qui créent les règles."
"Quant il y a une violation, et il y en a clairement eu une, peu importe qui enfreint les règles, Lewis Hamilton ou un autre, il y a une sanction."
L’Australien ne souhaite toutefois pas que le ton monte à travers les médias.
"Si Lewis veut dire quelque chose, là encore, c’est très simple, et je lui ai déjà dit comme aux autres pilotes : ma porte est toujours ouverte et je suis plus qu’heureux de discuter de n’importe quel sujet."
"Mais je répète que les commissaires jugent de manière équitable et impartiale, en prenant tous les éléments en compte au moment de la décision."
Et ces commissaires ont aussi admis que la faute reposait hier davantage sur Mercedes F1 que sur Hamilton, ce qui a permis de sauver Hamilton de deux points de pénalité en plus sur sa superlicence après un nouvel examen de l’infraction aux essais de départ.