Ces dernières semaines, plusieurs rumeurs ont circulé selon lesquelles Monaco pourrait connaitre son dernier Grand Prix de F1 cette année, à la fin de son contrat actuel.
Circuit inadapté aux dépassements, prix du plateau modeste par rapport à d’autres pays qui souhaitent avoir la F1, plusieurs éléments se sont cumulés pour placer un nuage noir sur l’avenir de ce Grand Prix historique.
A l’occasion de la réunion générale du corps des commissaires de l’Automobile Club de Monaco (ACM), le président Michel Boeri a donné quelques indications sur la négociation du contrat.
"Je veux faire allusion à ce qu’on a pu lire dans la presse où l’on évoque des difficultés après cette édition 2022, c’est à dire dès l’année prochaine, pour continuer à organiser des Grands Prix," dit-il.
"Il était sous entendu que les prix demandés par Liberty étaient trop excessifs pour Monaco et que le Grand Prix ne se ferait plus."
"C’est faux. Nous sommes toujours en discussion avec eux et nous devons désormais concrétiser par la signature d’un contrat."
"Je peux vous garantir qu’après 2022, le Grand Prix continuera d’avoir lieu. Je ne sais si le contrat portera sur 3 ou 5 ans mais c’est du détail."