Bonne nouvelle pour Monza et le Grand Prix d’Italie : de nouveaux soutiens financiers arrivent et devraient permettre d’assurer l’avenir de la course au delà de l’édition 2019.
La région de la Lombardie a reçu le soutien du parti de droite "Lega", qui a défendu la course devant le parlement en évoquant son statut historique.
L’idée est de protéger la course "au nom de la tradition" et cela devrait obliger l’état italien à financer à hauteur de 10 millions d’euros la course.
Le Sénat, contrôlé par Lega, va voter cet amendement.
Sans soutien de l’état, Monza ne signera pas de nouvel accord.
"Le coût de ce Grand Prix est trop élevé pour nous si nous restons seuls à le financer," admet le patron de l’Automobile Club d’Italie, Angelo Sticchi Damiani.
Monza a en effet publié une perte record de 12 millions d’euros pour son exercice 2018, dont une grande partie est dû au Grand Prix d’Italie.