Lando Norris a reconnu être soulagé d’avoir rejoint l’arrivée du Grand Prix de Monaco hier, qu’il a conclu à une belle sixième place au volant de sa McLaren F1. Et ce après que la course a été marquée par des conditions climatiques dantesques, des reports et des interruptions.
Le Britannique s’élançait cinquième mais perdait une place au profit de George Russell au moment où tout le monde chaussait les pneus pour le sec, mais pour lui l’essentiel était de survivre lors d’une course qu’il a qualifiée d’effrayante.
"Je ne peux pas me plaindre, parfois ces conditions vous permettent de gagner des positions, cette fois nous en avons perdu une. Je suis donc satisfait, bien qu’un peu frustré d’avoir perdu cette position et les points qui vont avec, mais l’équipe a réalisé du très bon travail et nous avons survécu à cette course qui fut longue et rude."
"C’est bien sûr frustrant de terminer une place plus bas. C’est toujours difficile de faire l’arrêt idéal dans ces conditions et de choisir le moment le plus opportun pour chausser les slicks. Nous avons été un peu malchanceux mais il est impossible de prendre la décision parfaite dans des journées comme celle-là."
Touché par une amygdalite depuis le Grand Prix d’Espagne, Norris pense qu’il était proche d’avoir retrouvé tous ses moyens ce dimanche dans les rues de la Principauté.
"Peut-être pas encore à 100%, je dois encore me reposer dans les prochains jours pour être sûr d’être prêt pour Bakou. Mais je suis confiant. Je pense que je pilote bien et je me sens à l’aise dans la voiture."
"La voiture et notre package fonctionnent bien, et je fais en sorte d’être en parfaite condition pour Bakou où j’espère que nous connaitrons un bon weekend, j’ai déjà hâte d’y être."