Un mal au dos mystérieux avait affecté Lando Norris lors du dernier Grand Prix de Styrie : cette douleur, qui avait perduré plusieurs jours malgré la consultation de spécialistes, avait notamment empêché le pilote McLaren de bien figurer en qualifications… L’effet de médicaments avait été efficace en course, le lendemain.
Lando Norris connaît l’origine de cette mésaventure : une absence trop longue loin de tout volant de F1 !
« C’est juste le fait d’avoir été hors de la F1 pendant si longtemps, puis de revenir directement à un week-end de course, en faisant tant de tours, etc. »
« Ce n’est qu’après le premier week-end que j’ai pu me préparer et que j’ai pu me rendre compte de la situation, en ayant évidemment quelques jours de repos entre les deux. »
Le pilote McLaren avait demandé à changer sa position dans le baquet, et celle de son volant, en Styrie, pour s’occuper de ce problème....
« Encore une fois, juste parce que nous sommes restés si longtemps sans Grand Prix, nous avons fait ajuster le siège et ainsi de suite avant même de retourner en Autriche. »
« Après avoir pris tant de muscle pendant la pause, j’étais juste un peu à l’ouest. J’avais une forme, une assise, légèrement différente dans mon siège, alors j’ai dû changer quelques petits éléments autour, j’ai un peu changé de position et ainsi de suite, cela a dû un peu jouer. »
Lando Norris est donc retourné au Royaume-Uni, entre la Styrie et la Hongrie, pour consulter d’autres spécialistes. Désormais, il assure se sentir en meilleure forme et espère que ces douleurs seront derrière lui.
Au passage, il dit avoir veillé à respecter les consignes sanitaires... même si les autorités hongroises ne risquent pas d’apprécier cette escapade anglaise.
« Nous avons en quelque sorte diagnostiqué ce problème. »
« Je me sens mieux pour cette semaine, ce qui est une très bonne chose. Je suis retourné au Royaume-Uni ces derniers jours, en restant dans ma bulle, pour aller voir des spécialistes et faire un scanner, etc. »
« Nous avons diagnostiqué à peu près ce qu’était le problème. Et je me sens mieux. Ce n’est pas quelque chose qui va guérir complètement du jour au lendemain, mais je vais beaucoup mieux que le week-end dernier, c’est donc une bonne chose. »