Esteban Ocon espère se relancer en bonne forme après deux Grands Prix difficiles pour lui à Zandvoort et aux Pays-Bas.
Le Français aborde l’Azerbaïdjan, son 150e départ en Grand Prix, avec un peu plus d’optimisme pour les qualités de son Alpine F1.
"Le week-end de Monza était difficile, mais nous savions que ce serait le cas et il y avait beaucoup d’inconnues pour l’équipe avec le nouvel asphalte. Cela a joué dans nos difficultés stratégiques dimanche. Nous avons eu du mal avec les pneumatiques à la fin du premier relais après être restés en piste pour essayer une stratégie à un seul arrêt."
"Nous n’avons malheureusement pas pu marquer de points, mais il y a toujours du positif à retenir. Nous avons pu extraire plus de performances entre vendredi et samedi, donc je me suis senti bien mieux au volant pour les qualifications et nous avons fait entrer les deux voitures en Q2. C’était un bel accomplissement compte tenu de notre début de saison. Nous avons eu beaucoup de choses à débriefer pendant la semaine de pause et nous nous tournons maintenant vers ce week-end en Azerbaïdjan."
"J’ai hâte de retrouver Bakou cette semaine. Ce circuit est toujours l’un des préférés des pilotes avec sa dualité entre virages étroits et sinueux et longues lignes droites. Cela le rend vraiment incroyable. L’étroitesse du deuxième secteur dans la vieille ville est impardonnable. Elle exige une concentration de tous les instants, car la moindre erreur peut vous coûter extrêmement cher avant la longue ligne droite des stands, où plusieurs voitures peuvent rouler côte à côte. Cela fait vraiment monter l’adrénaline, même sur un seul tour."
"Les dernières courses ont été difficiles pour notre côté du garage, donc nous sommes impatients de reprendre la piste et de tirer le maximum du week-end. Ce sera également mon 150e départ en Grand Prix, Formule 1, un beau jalon à titre personnel."