Esteban Ocon se rend au Canada pour disputer son troisième Grand Prix dans les rues de la cité francophone de Montréal.
Après avoir terminé, à Bakou, pour la sixième fois dans les points cette saison, il cherchera à enchaîner au Canada, où il a marqué des points lors de ses deux précédentes visites.
Comment résumeriez-vous votre week-end à Bakou ?
Ce ne fut pas mon meilleur week-end, c’est sûr. Nous avions un bon niveau de compétitivité jusqu’à dimanche, mais savons que nous aurions pu faire mieux le jour de la course. Samedi, nous avions le rythme pour nous inviter dans le top 10 en qualification, mais les drapeaux jaunes ont encore une fois perturbé notre séance, ce qui a eu un impact sur notre position de départ et notre approche de la course. Mais au final, l’équipe a réussi à placer ses deux voitures dans les points, et le bilan global est tout de même positif. Nous avons débriefé de tout cela après la course et nous pourrons nous appuyer sur les enseignements tirés à Montréal ainsi que lors des courses suivantes afin d’élever notre niveau de performance d’un cran.
Le prochain Grand Prix se déroule au Canada. Comment l’abordez-vous ?
En premier lieu, c’est formidable de revenir au Canada. J’ai l’impression que ça remonte à longtemps. Il s’agit de l’une des courses les plus populaires du calendrier. Le circuit de Montréal propose des chicanes lentes et des lignes droites. Nous avons montré que nous avions une bonne vitesse de pointe, donc nous espérons que cela nous aidera. L’objectif est de passer un bon week-end, de passer en revue notre programme sans problème, de hisser notre rythme en qualifications et de marquer de bons points le dimanche. J’ai déjà hâte de reprendre le volant.
Votre dernière apparition sur le Circuit Gilles Villeneuve date de 2018, ce qui semble être une éternité. Qu’est-ce que vous attendez le plus ?
Oui, on a l’impression que cela fait une éternité, surtout que c’est un endroit où j’aime vraiment me rendre. La dernière fois que j’y ai couru, j’ai terminé neuvième, donc je vais chercher à faire mieux. J’ai toujours bénéficié d’un fort soutien de la part des fans canadiens francophones et de la grande communauté française de Montréal, donc je sais que l’atmosphère sera excellente. Les fans canadiens sont passionnés, et je suis sûr qu’ils sont impatients de retrouver la Formule 1, surtout après les difficultés rencontrées ces dernières années. Espérons maintenant que nous pourrons conserver un bon niveau de performance tout au long du week-end.