Esteban Ocon a bien entendu les rumeurs sur le Grand Prix de France, sa course à domicile, depuis plusieurs mois. Même si l’incertitude demeure, il y a eu un espoir lors du Grand Prix de Monaco lorsque Eric Boullier, l’un des directeurs de la course, a confirmé que le Paul Ricard était prêt à s’inscrire dans un nouveau modèle.
En effet, la FOM cherche à préserver les courses européennes et, pour certaines d’entre elles comme la France, cela peut passer par l’alternance, une année sur deux.
En attendant, Ocon constate que rien n’est signé et l’alternance, ce n’est pas forcément ce que souhaite un pilote qui veut rouler devant son public.
"Oui ma course n’est pas au calendrier pour l’instant, c’est vrai. Je suis évidemment les conversations et je vois comment ça se passe mais ça n’a pas l’air génial non plus. C’est très décevant."
"J’ai vécu dans ma jeune carrière où le Grand Prix n’était pas là, puis il est revenu. J’ai été très chanceux de courir là-bas, nous l’avons cette année et nous allons en profiter au maximum, c’est clair."
"L’alternance, ça reste une bonne nouvelle. Je pense qu’il y a des pays dans lesquels nous devons courir. La France en fait partie, la Belgique en fait partie, Monaco en fait partie. Il faut garder ces courses qui nous sont chères et voir ce qu’on fait du reste."