L’Allemagne ne reviendra pas de sitôt dans le calendrier de la Formule 1, a prévenu Stefano Domenicali, le PDG de la F1.
Il n’y en aura déjà pas en 2022, c’est maintenant certain.
"J’ai le sentiment que les organisateurs n’ont plus confiance en eux pour organiser un Grand Prix capable de remplir les tribunes," commente l’Italien, en évoquant Hockenheim comme le Nurburgring.
Domenicali compare la frilosité des organisateurs allemands avec ceux en charge du nouveau et désormais très populaire Grand Prix des Pays-Bas à Zandvoort.
"Regardez ce qui s’est passé en Hollande. Zandvoort est complet pour les trois prochaines années."
Au milieu de l’incertitude persistante sur le reste du calendrier de cette année, le calendrier de la Formule 1 pour 2022 sera publié dans quelques jours ou semaines.
Domenicali vise toujours un record de 23 courses l’année prochaine.
"Je peux imaginer environ un tiers des courses en Europe et les autres dans le reste du monde, et nous commencerons à Bahreïn."
"Nous avons des demandes du côté de l’Afrique du Sud, nous négocions avec le sud comme le nord de ce continent d’ailleurs, ainsi qu’avec un ou deux endroits en Extrême-Orient dont la Corée, pour citer un exemple."