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Perez veut discuter du gentlemen’s agreement en qualifications

Brisé à plusieurs reprises, notamment à Bakou

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Est-ce la fin du gentlemen’s agreement en Formule 1 en qualifications ?

Encore une fois, en Azerbaïdjan, lors de la séance du samedi après-midi, plusieurs pilotes ne respectent pas l’ordre de sortie du garage en piste et, alors qu’ils doivent chauffer leurs pneus pour le tour rapide, certains en profitent pour dépasser leurs collègues.

Rien n’interdit de le faire mais, jusqu’à cette année, les pilotes respectaient cette règle entre eux. Ce qui a pu mener à certaines situations cocasses dans le passé comme à Monza, lorsque plusieurs voitures n’ont pas pu entamer un 2e tour rapide à temps.

Pour Sergio Perez, vainqueur du Grand Prix, il y aura des choses à remettre à plat lors du briefing des pilotes au Paul Ricard suite au chaos des qualifications à Bakou (quatre drapeaux rouges).

"Pourquoi c’est arrivé ? Parce que tout le monde sortait en même temps, tout le monde voulait être devant, tout le monde se dépassait. Le gentlemen’s agreement ? Je crois qu’il n’existe plus. Et tout cela rend les choses un peu plus difficiles lorsque vous ne savez pas comment veulent se placer les autres. Au final, tout le monde y perd. Moi, de mon côté, je n’ai pas pu signer un tour quand ça comptait. Tout simplement."

"Il y a des pilotes qui respectent vraiment cet accord tacite entre nous, des pilotes en qui vous pouvez avoir confiance. Mais il y en a maintenant qui ne peuvent plus avoir ma confiance."

"C’est très dur, pour être honnête. Je pense que le chaos commence lorsque les pilotes doublent vers la fin du tour alors que nous savons que nous devons simplement garder notre position et essayer de créer des écarts."

"C’est comme un embouteillage. Si d’un coup les gens veulent tous passer en premier... ça devient de pire en pire. C’est comme ça depuis quelques courses."

Perez estime donc qu’une discussion s’impose et suggère qu’une réunion doit être organisée pour s’assurer que les pilotes sont tous sur la même longueur d’onde.

"C’est peut-être quelque chose dont nous devrions discuter en tant que pilotes. Au briefing en France, ou entre nous. Nous devons être plus raisonnables à ce sujet, surtout en ce qui concerne les qualifications, nous devrions être plus respectueux et être plus conscients que cela peut créer des difficultés pour les autres."

"Il est probablement bon d’en discuter tous ensemble et voir si c’est quelque chose que nous pensons tous qu’il faut résoudre."

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