Oscar Piastri a admis ne pas être un grand fan du format Sprint en F1, bien que le pilote McLaren en ait remporté un la saison dernière, au Qatar.
L’Australien préfère les week-ends traditionnels de la F1 et avoue qu’il y a une zone grise autour des Sprints et des conséquences d’une victoire lors d’une course de 100 kilomètres.
"Je suis d’accord avec ce que Lando [Norris] a dit, je préfère toujours un week-end de course normal."
"Le Sprint donne l’opportunité de fournir un peu plus d’excitation, et je pense que nous avons vu de bons Sprints dans le passé. Mais c’est encore une zone grise un peu étrange."
"Est-ce une course, n’est-ce pas une course ? J’en suis l’exemple suite à ce que j’ai réussi l’année dernière au Qatar : suis-je un vainqueur de course en F1 ou ne suis-je pas un vainqueur de course ?"
"Personne ne sait me répondre, tout est flou."
Le pilote McLaren a expliqué comment l’ambiguïté sur le classement des sprints dans la hiérarchie des réalisations en carrière en F1 crée des "bizarreries" pour lui en tant que seul pilote ayant actuellement réussi cela.
Depuis que le format a été introduit pour la première fois en 2021, deux ans avant les débuts de Piastri en F1, Max Verstappen, Sergio Perez, Valtteri Bottas et George Russell ont tous remporté des victoires au sprint.
Cependant, comme ils ont chacun également remporté au moins un Grand Prix, ils sont facilement considérés comme des vainqueurs en F1.
"C’est une position très délicate, disons. Cela crée des bizarreries. Je suppose que c’est là que se situe l’essentiel de mon inconfort – je ne suis donc pas un grand fan du format."