Charles Leclerc a maintenant trois semaines pour se reposer et récupérer de l’énergie avant de tenter de sauver sa saison sur une période intense de neuf courses en 12 semaines.
S’il a avoué que le titre s’annonce "de plus en plus difficile", il précise aujourd’hui cependant que "jusqu’à ce que ce soit mathématiquement fini, alors j’ai encore envie d’y croire. C’est ce qui me donne la motivation".
Il fait face à un tel déficit (80 points) qu’il n’a plus ou moins rien à perdre. Comment va-t-il aborder la deuxième partie de saison ?
"J’ai vraiment l’impression que cette première partie de saison a été ma plus forte en F1 dans la façon dont j’ai travaillé," déclare Leclerc, "et la façon dont nous avons travaillé en équipe - en termes de trouver le bon set-up , en termes de préparation pour le tour de qualification en Q3, ou simplement de préparation de la course : ça a été le meilleur que j’aie jamais eu en F1."
"Donc, je n’ai pas besoin de changer cette approche. Encore une fois, il faut essayer de grandir à partir des erreurs de la première mi-saison, essayer de performer aussi bien parce que la performance, j’en suis extrêmement heureux. Ca, je veux le garder."
"Donc, il n’y aura pas de changement significatif de ma part. Nous devons juste essayer de travailler en équipe pour organiser un week-end propre sur chacune des neuf courses restantes et voir où nous nous retrouverons au final."