Kevin Magnussen espère de la réussite en Hongrie, après deux accrochages consécutifs avec son équipier. Le Danois mise sur le tracé sinueux du Hungaroring pour espérer sortir de sa mauvaise spirale, bien qu’il ait inscrit des points en Allemagne.
"C’est difficile à dire si nous serons dans le coup," admet Magnussen.
"Nous étions forts à Monaco, c’est un circuit lent comme l’est la Hongrie, mais de toute évidence pas autant que Monaco. Nous verrons une fois sur place. C’est difficile en ce moment de faire de prédictions."
Pour lui, la clé du pilotage résidera dans la gestion des pneus arrière, ce qui implique de bien doser l’accélérateur et de favoriser la motricité sans surchauffer les gommes : "On veut garder les pneus arrière, et en particulier la surface du pneu, en contrôle avec l’accélérateur. On gère ces températures aussi bien qu’on le peut. C’est le plus important."
Malgré la lenteur du tracé, Magnussen précise que la manche hongroise du calendrier est tout de même très exigeante, mais plutôt par la concentration qu’elle demande au pilote, et non par des contraintes physiques pures comme les circuits aux virages rapides.
"C’est très physique car on a peu de pauses. On est toujours en train de tourner le volant. On est toujours actif dans la voiture. Chaque piste a ses propres caractéristiques. Le Hungaroring est plutôt sympa à piloter, bien que ce soit un circuit petit et sinueux."