Kimi Räikkönen ne se prive pas de faire des activités sportives lorsqu’il a du temps chez lui, en Suisse, et le Finlandais refuse de se plier à des contraintes extra-sportives imposées par son équipe. Il explique avoir été très clair à ce sujet avec Alfa Romeo.
"Je n’ai pas lu mon contrat parce que ça ne vaut pas grand-chose selon moi" déclare Räikkönen, donnant le ton. "Quand j’ai discuté avec Alfa Romeo la première fois, je leur ai dit que s’ils se plaignaient de quoi que ce soit, s’ils chouinaient, je ne serais plus là."
’Iceman’ estime que la discussion ne doit arriver qu’après une éventuelle blessure : "Il y a beaucoup de choses dangereuses dans la vie. Evidemment j’essaie de faire attention, mais je pense que c’est suffisant de parler de quelque chose seulement si ça s’est passé."
Interrogé sur sa volonté de rester impliqué dans la gestion de la F1 une fois qu’il ne serait plus pilote, Räikkönen est très clair : "Ce n’est pas pour moi. Liberty gère plus de politique que bien des pays."