Ces dernières semaines, il y a eu quelques rumeurs en provenance des Etats-Unis : Liberty Media considérerait la revente de toute ou partie de ses parts dans la Formule 1.
Alors que la révolution du sport n’est pas encore enclenchée, tout cela tient uniquement de la spéculation selon le porte-parole de la société qui possède la catégorie reine du sport automobile.
Plusieurs sources ont affirmé ce week-end que Red Bull pourrait être intéressée par le rachat du sport. Des rumeurs démenties fortement par Helmut Marko.
"Cela n’aurait aucun sens pour nous," affirme le conseiller au sport automobile de Red Bull.
Il n’en reste pas moins que la grogne des promoteurs envers Liberty Media est réelle et n’est pas terminée. Ainsi le patron du circuit allemand d’Hockenheim, Georg Seiler, ne dément pas les tensions mais se veut optimiste.
"Il est important pour moi de souligner que les dernières discussions avec Liberty Media ont été constructives."
"Mais il est vrai que, comme les autres promoteurs membres de la Formula One Promoters’ Association, nous croyons que nous sommes sous-représentés dans les décisions fondamentales qui concernant l’avenir de la Formule 1."