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Red Bull : Horner se souvient de l’arrivée ’galvanisante’ de Newey

Une spirale positive pour attirer d’autres ingénieurs

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Alors que Red Bull pourrait remporter ce week-end le cinquième titre constructeurs de son histoire, Christian Horner (à gauche sur la photo) se souvient du recrutement d’Adrian Newey (à droite) dans l’équipe. C’était en 2006, dès la deuxième année de création de l’équipe, et ce recrutement a changé la donne.

Le directeur du team de Milton Keynes se rappelle avoir voulu marquer un changement en recrutant un des directeurs techniques les plus cotés, pour son bagage, mais aussi pour envoyer un signal au paddock de la F1.

"Pour moi, ce dont j’avais vraiment besoin, c’était d’une direction technique et je me suis dit que j’allais aller chercher le meilleur dans le domaine, et c’était Adrian Newey" a déclaré Horner. "Adrian avait eu une carrière incroyable chez Williams et McLaren et il y avait eu quelques années où McLaren n’avait pas exploité son potentiel."

"J’ai senti qu’il y avait une fenêtre d’opportunité. J’ai fait en sorte de rencontrer Adrian et d’établir une relation avec lui et son épouse de l’époque, et j’ai réussi à le convaincre de rejoindre l’équipe. C’était un moment décisif."

"Tout à coup, les gens se sont réveillés et ont pensé ’si Adrian Newey est prêt à venir, il doit voir quelque chose en quoi il croit’, et nous sommes partis de là. Cela a ensuite galvanisé le groupe technique, car Adrian est l’ingénieur le plus déterminé que j’aie jamais rencontré."

"Et cela a galvanisé l’équipe parce que si Adrian disait que l’on devait prendre une direction technique, on la prenait. Cela a donné un sens à l’objectif du bureau d’études et m’a permis d’attirer plus de talents pour compléter ce qui existait déjà, pour éliminer les quelques éléments qui avaient besoin d’être nettoyés."

Faire disparaître la "culture du blâme" de Jaguar

Horner révèle que l’équipe Jaguar, dont il a pris la tête quelques semaines après le rachat par Red Bull, était en grande difficulté car il n’y avait pas d’unité entre les départements. Selon lui, la principale défense de chacun était de rejeter la faute sur l’autre.

"Il y avait cette culture du blâme au sein de l’entreprise où le bureau des dessins blâmait l’aéro, l’aéro blâmait la soufflerie, la R&D blâmait la production, et l’équipe de course était blâmée par tout le monde. Il n’y avait pas d’obligation de rendre des comptes ni de responsabilité collective."

"La question était donc de savoir comment démêler tout cela et créer le ciment nécessaire à l’unité de l’entreprise. Nous n’avons pas vraiment changé le cœur de l’équipe qui sous-performait chez Jaguar. Nous avons mis un leadership en place et instauré une culture."

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