Durant les dernières courses, Renault a semblé nettement plus à l’aise en course qu’en qualifications. La différence se voit notamment face à McLaren, qui a monopolisé la quatrième ligne durant tout le mois d’octobre, mais a dû faire face à un retour de Daniel Ricciardo et Nico Hülkenberg le dimanche.
"Si l’on regarde les qualifications et la course, j’ai l’impression que McLaren parvient à tirer des bons temps de la voiture un peu plus facilement" explique l’Australien. "Cette fenêtre dont nous parlons semble un peu plus large pour eux."
Cela explique, selon lui, la différence entre le samedi et le dimanche pour Renault : "C’est pour cela qu’en qualifications, nous ne sommes pas toujours capables d’extraire le meilleur de la voiture, car il est plus facile pour nous de faire une erreur ou de ne pas parfaitement régler la voiture."
"Mais en course, une fois que le rythme baisse et qu’on n’est plus à la limite des pneus, durant toute la course, c’est là où nous sommes capables d’élargir cette fenêtre. C’est pour cela qu’on parvient à revenir sur eux."