Nico Rosberg ne cache pas son attrait pour l’eSport, et a lui-même un simulateur chez lui (à Monaco) sur lequel il aime rouler. Il vient d’ailleurs de s’en faire livrer un à Ibiza, sa maison pour le confinement.
Bien qu’il ait arrêté sa carrière de pilote, il y trouve le moyen de continuer à rester vif.
"Ce n’est surement pas négatif de continuer à entraîner mon esprit à réagir à haute vitesses à des choses qui se présentent devant moi dans un environnement de compétition," réfléchit Rosberg, qui est impressionné par l’ampleur prise par les compétitions virtuelles ces dernières semaines.
"C’est assez sympa de voir à quel point l’eSport vit une explosion maintenant. J’ai regardé plusieurs courses, et c’est incroyable à quel point c’est réaliste, et à quel point c’est divertissant."
"C’est amusant à regarder, vous pouvez vous amuser et il y a un beau futur pour l’eSport. C’est un autre domaine très important qui a bénéficié de la crise et qui, je le pense, continuera à en bénéficier après."