Même s’il a lancé plusieurs projets et entreprises, la plupart lié à la mobilité durable, et qu’il dirige une équipe en Extreme E, Nico Rosberg n’a aucune envie de suivre les traces de son ancien patron en F1, Toto Wolff.
Avant de devenir l’un des patrons actuels d’équipe de Formule 1, et aussi l’un des plus titrés de tous les temps, Wolff était pilote et investisseur dans le sport automobile.
Lorsque Formel1.de lui demande s’il aimerait devenir "le prochain Toto Wolff" et revenir en Formule 1, la réponse est claire : "cela ne m’attire pas".
"Ce serait encore cette dépendance qui irait trop loin pour moi. C’est un travail à temps plein. Vous êtes occupé le matin, l’après-midi et le soir. Toute la journée, en fait."
Et ce ne sont pas seulement les rythmes exigeants de la F1 qui rebutent Rosberg, mais aussi la pression de la vie au sommet d’un sport qu’il ne comprend que trop bien.
"Quand je vois à quel point Toto travaille intensément, je sais que ce n’est pas pour moi. Je veux éviter ce genre de chose pour le reste de ma vie."
"J’ai vécu cette intensité et cette dépendance en tant que pilote et je ne veux plus en faire l’expérience."