George Russell ne connaît pas un début de carrière simple en F1, au sein d’une écurie Williams en grande détresse. Mais parmi de nombreux points négatifs, le Britannique se veut positif sur un plan en particulier, sur le fait que l’équipe parvienne à comprendre ce qui pèche.
"Nous avons une très bonne compréhension des choses que nous devons changer pour progresser" explique Russell. "Évidemment, la plus grande limitation pour le moment est l’appui aérodynamique, mais il y a certainement des choses que nous pouvons faire pour aller plus vite avec cet appui."
"Nous devons donc revenir en arrière et il pourrait y avoir, pas des solutions faciles, mais nous devrions être en mesure d’avoir un revirement plus rapide avec quelque chose comme ça. Nous avançons de ce côté, ce sont de petits gains, mais de petits gains ici et là qui finissent par tous s’additionner."
Russell rappelle que Williams s’était déjà rapprochée du peloton à Bahreïn : "Nous étions presque en train de nous battre... Je pense que j’aurais pu tenir [Lance] Stroll à distance, Stroll m’a dépassé avec l’incident de [Sebastian] Vettel. Je suis allé à l’extérieur de Vettel et Stroll m’a doublé à l’intérieur. Sans ça, j’aurais pu le retenir."
"Je pense que [Carlos] Sainz avait du mal à me dépasser pendant cinq ou six tours avant et qu’il a fait un arrêt au stand supplémentaire qui, avec le recul, était peut-être meilleur. Mais il y a de petits signes qui nous font dire que nous pourrons capitaliser sur cela si nous progressons."