Carlos Sainz se lance dans l’eSport en dilettante, avec la volonté de disputer les courses virtuelles officielles de la F1. Il fera sa première participation ce dimanche, dans le cadre du Grand Prix virtuel de Chine.
Néanmoins, le pilote McLaren assure qu’il ne voit pas cela comme un remplacement du sport automobile, même s’il ne nie pas la qualité des jeux.
"Il est vrai que des jeux comme Gran Turismo Sport ou iRacing sont spectaculaires en termes de graphismes, de reproduction des tracés et de réglages des voitures" explique Sainz. "Mais quand vous pilotez une F1 et que vous l’amenez à sa limite, il faut une certaine condition physique et des talents dont il n’y a pas besoin à la maison."
Selon l’Espagnol, ces jeux lui permettent de se divertir et d’entretenir son côté compétitif, mais il n’imagine pas un seul instant qu’un gamer puisse devenir un futur pilote de Formule 1.
"Je pense qu’il est très peu probable d’arriver en F1 uniquement grâce au simulateur. Actuellement, je l’utilise davantage comme une diversion qu’autre chose. Il m’aide à garder cette petite étincelle de compétitivité."